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vol. 0 - 404 p.
Plaatsingsrubriek : CDM - BP

Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la plume de David Graeber, le concept de "bullshit jobs" - ou "jobs à la con", comme on les appelle en français. Dans son style unique, virulent et limpide, l'auteur procède ici à un examen poussé de ce phénomène. Il soutient que, lorsque 1 % de la population contrôle la majeure partie des richesses d'une société, ce sont eux qui définissent les tâches "utiles" et "importantes". Mais que penser d'une société qui, d'une part, méprise et sous-paie ses infirmières, chauffeurs de bus, jardiniers ou musiciens - autant de professions authentiquement créatrices de valeur - et, d'autre part, entretient toute une classe d'avocats d'affaires, d'actuaires, de managers intermédiaires et autres gratte-papier surpayés pour accomplir des tâches inutiles, voire nuisibles ? Graeber s'appuie sur les réflexions de grands penseurs, philosophes et scientifiques pour déterminer l'origine de cette anomalie, tant économique que sociale, et en détailler les conséquences individuelles et politiques : la dépression, l'anxiété et les relations de travail sadomasochistes se répandent ; l'effondrement de l'estime de soi s'apparente à "une cicatrice qui balafre notre âme collective". Sa démonstration est émaillée de témoignages éclairants envoyés par des salariés de tous pays, récits tour à tour déchirants, consternants ou hilarants. Il y a le consultant en informatique qui ne possède aucune des qualifications requises pour le poste, mais qui reçoit promotion sur promotion, bien qu'il fasse des pieds et des mains pour se faire virer ; le salarié supervisé par vingt-cinq managers intermédiaires dont pas un seul ne répond à ses requêtes ; le sous-sous-sous-contractant de l'armée allemande qui parcourt chaque semaine 500 kilomètres en voiture pour aller signer un papier qui autorisera un soldat à déplacer son ordinateur dans la pièce d'à côté... Graeber en appelle finalement à une révolte du salarié moderne ainsi qu'à une vaste réorganisation des valeurs, qui placerait le travail créatif et aidant au coeur de notre culture et ferait de la technologie un outil de libération plutôt que d'asservissement, assouvissant enfin notre soif de sens et d'épanouissement.
Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la ...

Travail ; Emploi ; Société ; Conditions de travail

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

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- 447 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la plume de David Graeber, le concept de "bullshit jobs" - ou "jobs à la con", comme on les appelle en français. Dans son style unique, virulent et limpide, l'auteur procède ici à un examen poussé de ce phénomène. Il soutient que, lorsque 1 % de la population contrôle la majeure partie des richesses d'une société, ce sont eux qui définissent les tâches "utiles" et "importantes". Mais que penser d'une société qui, d'une part, méprise et sous-paie ses infirmières, chauffeurs de bus, jardiniers ou musiciens - autant de professions authentiquement créatrices de valeur - et, d'autre part, entretient toute une classe d'avocats d'affaires, d'actuaires, de managers intermédiaires et autres gratte-papier surpayés pour accomplir des tâches inutiles, voire nuisibles ? Graeber s'appuie sur les réflexions de grands penseurs, philosophes et scientifiques pour déterminer l'origine de cette anomalie, tant économique que sociale, et en détailler les conséquences individuelles et politiques : la dépression, l'anxiété et les relations de travail sadomasochistes se répandent ; l'effondrement de l'estime de soi s'apparente à "une cicatrice qui balafre notre âme collective". Sa démonstration est émaillée de témoignages éclairants envoyés par des salariés de tous pays, récits tour à tour déchirants, consternants ou hilarants. Il y a le consultant en informatique qui ne possède aucune des qualifications requises pour le poste, mais qui reçoit promotion sur promotion, bien qu'il fasse des pieds et des mains pour se faire virer ; le salarié supervisé par vingt-cinq managers intermédiaires dont pas un seul ne répond à ses requêtes ; le sous-sous-sous-contractant de l'armée allemande qui parcourt chaque semaine 500 kilomètres en voiture pour aller signer un papier qui autorisera un soldat à déplacer son ordinateur dans la pièce d'à côté... Graeber en appelle finalement à une révolte du salarié moderne ainsi qu'à une vaste réorganisation des valeurs, qui placerait le travail créatif et aidant au coeur de notre culture et ferait de la technologie un outil de libération plutôt que d'asservissement, assouvissant enfin notre soif de sens et d'épanouissement.
Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la ...

Travail ; Emploi ; Société ; Conditions de travail

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

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vol. 0 - 192 p.
Plaatsingsrubriek : CDM - BP

Découvrez les conseils d'une coach en orientation pour encourager et aider votre ado dans ses recherches et sa réflexion. Il est parfois compliqué d'échanger avec votre ado, pourtant il n'a jamais été aussi important pour lui de dialoguer, d affiner son projet professionnel et d être soutenu. Alors comment s'y prendre pour l'épauler sans l'influencer et surtout comment s'y retrouver parmi toutes les possibilités ? L'auteur met ses compétences au service des parents et des ados pour que ce tournant si important se passe le mieux possible. À travers les expériences de tous les enfants qu'elle a guidés et encouragés, elle vous livre les clefs d'un accompagnement réussi. Un outil complet pour aider son enfant dès la 3e : > des focus pour bien comprendre les questions d'orientation > un panorama des possibilités et un calendrier précis à suivre > des témoignages de parents et d'enfants pour se situer Le plus du livre : des conseils sur les bonnes postures à adopter vis-à-vis de son ado en période d'orientation pour lui permettre d'exprimer le meilleur de lui-même.
Découvrez les conseils d'une coach en orientation pour encourager et aider votre ado dans ses recherches et sa réflexion. Il est parfois compliqué d'échanger avec votre ado, pourtant il n'a jamais été aussi important pour lui de dialoguer, d affiner son projet professionnel et d être soutenu. Alors comment s'y prendre pour l'épauler sans l'influencer et surtout comment s'y retrouver parmi toutes les possibilités ? L'auteur met ses compétences au ...

Psychologie ; Adolescent ; Education ; Orientation professionnelle ; Société

Classificatieplan : A3 Oriëntatie naar studie- en opleidingstraject

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- 216 p.
Plaatsingsrubriek : CDM - BP

Maatschappelijke problemen als hardnekkige werkloosheid, kansenongelijkheid en grote beloningsverschillen worden doorgaans toegeschreven aan een niet goed functionerende arbeidsmarkt. De gangbare reactie is dat we de arbeidsmarkt beter moeten laten werken. Een goed functionerende arbeidsmarkt, zoals die in de economische leerboeken wordt beschreven, is echter een mythe. In werkelijkheid kan de arbeidsmarkt nooit werken als de oliemarkt, de bloemenmarkt of de smartphonemarkt. Arbeid is geen handelswaar. Pogingen om de arbeidsmarkt beter te laten functioneren, door het versterken van financiële prikkels, het versoepelen van de ontslagbescherming of het vergroten van de mobiliteit van werkenden, hebben een averechts effect. Om meer mensen kans te bieden op volwaardig werk, moeten we afstand nemen van het idee van de arbeidsmarkt en duurzame arbeidsrelaties centraal stellen.
Maatschappelijke problemen als hardnekkige werkloosheid, kansenongelijkheid en grote beloningsverschillen worden doorgaans toegeschreven aan een niet goed functionerende arbeidsmarkt. De gangbare reactie is dat we de arbeidsmarkt beter moeten laten werken. Een goed functionerende arbeidsmarkt, zoals die in de economische leerboeken wordt beschreven, is echter een mythe. In werkelijkheid kan de arbeidsmarkt nooit werken als de oliemarkt, de ...

Marché du travail ; Société ; Financement

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

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vol. 0 - 199 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

L'autonomie est aujourd'hui une injonction tant scolaire que sociale : il faut former les élèves à "devenir autonomes", les citoyens sont invités à se "prendre en main" et à "être autonomes", l'évolution des technologies est censée contribuer à nous "autonomiser", etc. Mais qu'est-ce donc que l'autonomie ? Le premier mérite de ce livre est d'en fournir une définition stabilisée : l'autonomie est la capacité d'agir, de choisir et de penser par soi-même afin de se diriger dans le monde. Son deuxième mérite est de nous permettre de comprendre la surchauffe idéologique autour de cette notion : dès lors qu'il n'y a plus de consensus sur le but de l'éducation, l'autonomie en devient une finalité nécessaire. Son troisième mérite est d'insister sur le fait que l'autonomie n'est ni un don ni le résultat d'un "développement naturel", mais suppose une interaction avec l'environnement et les expériences qu'il permet, l'intégration de normes sociales, l'acquisition de connaissances scolaires. Elle requiert bien une prise en charge, un ensemble d'interventions éducatives assumées qui sont, ici, très précisément décrites. Car c'est grâce à l'éducation que l'enfant peut devenir autonome. L'auteur, Philippe Foray, philosophe de l'éducation, développe son propos dans différents champs et domaines. C'est ainsi qu'il aborde le rôle de la famille et celui de l'école, examine minutieusement les rapports de l'autonomie avec le care, l'autorité, la justice sociale et les savoirs scolaires. Il avance pas à pas, conduisant le lecteur avec une rigueur qui n'a rien de dogmatique, mais permet justement à chacune et à chacun de s'impliquer dans la démarche proposée, d'éviter les pièges et les faux-semblants afin d'assumer, de manière autonome, son engagement éducatif.
L'autonomie est aujourd'hui une injonction tant scolaire que sociale : il faut former les élèves à "devenir autonomes", les citoyens sont invités à se "prendre en main" et à "être autonomes", l'évolution des technologies est censée contribuer à nous "autonomiser", etc. Mais qu'est-ce donc que l'autonomie ? Le premier mérite de ce livre est d'en fournir une définition stabilisée : l'autonomie est la capacité d'agir, de choisir et de penser par ...

Education ; Enseignement ; Enfant ; Société ; Psychologie

Classificatieplan : MEZ

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vol. 0 - 393 p.
Plaatsingsrubriek : CDM-BP

L'essor des intelligences artificielles réactualise une prophétie lancinante : avec le remplacement des êtres humains par les machines, le travail serait appelé à disparaître. Si certains s'en alarment, d'autres voient dans la " disruption numérique " une promesse d'émancipation fondée sur la participation, l'ouverture et le partage.
Les coulisses de ce théâtre de marionnettes (sans fils) donnent cependant à voir un tout autre spectacle. Celui des usagers qui alimentent gratuitement les réseaux sociaux de données personnelles et de contenus créatifs monnayés par les géants du Web. Celui des prestataires des start-ups de l'économie collaborative, dont le quotidien connecté consiste moins à conduire des véhicules ou à assister des personnes qu'à produire des flux d'informations sur leur smartphone. Celui des microtravailleurs rivés à leurs écrans qui, à domicile ou depuis des " fermes à clic ", propulsent la viralité des marques, filtrent les images pornographiques et violentes ou saisissent à la chaîne des fragments de textes pour faire fonctionner des logiciels de traduction automatique.
En dissipant l'illusion de l'automation intelligente, Antonio Casilli fait apparaître la réalité du digital labor : l'exploitation des petites mains de l'intelligence " artificielle ", ces myriades de tâcherons du clic soumis au management algorithmique de plateformes en passe de reconfigurer et de précariser le travail humain.
L'essor des intelligences artificielles réactualise une prophétie lancinante : avec le remplacement des êtres humains par les machines, le travail serait appelé à disparaître. Si certains s'en alarment, d'autres voient dans la " disruption numérique " une promesse d'émancipation fondée sur la participation, l'ouverture et le partage.
Les coulisses de ce théâtre de marionnettes (sans fils) donnent cependant à voir un tout autre spectacle. Celui ...

Mutations technologiques ; Société ; Modernisation ; Développement économique ; Changement social ; Robotisation

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

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vol. 0 - 159 p.
Plaatsingsrubriek : BF Carrefour

Le sens commun tend à rendre synonymes des notions qui ne recouvrent aucune réalité commune. L'éthique, de nos jours, n'échappe pas à ce travers. Cet essai tente d'extraire l'énigme éthique du sens commun en la différenciant de la morale et de la déontologie. Ainsi s'attache-t-il à mesurer les enjeux qui viennent au jour, à partir du questionnement éthique, lorsqu'il s'agit d'accompagner des personnes dites "fragilisées". L'accompagnement est d'abord et avant tout une relation. Qu'est-ce qu'une relation, d'un point de vue éthique ? Qu'est-ce que l'accueil, la rencontre, l'hospitalité, le face-à-face... Autant de dimensions qui retrouvent, au travers du questionnement éthique, toute leur profondeur. C'est ainsi que l'auteur souligne la nécessité de refuser "l'infâme prise en charge" qui chosifie les individus accompagnés. Accompagner, c'est "aller de compagnie avec". Dès lors, toute réflexion éthique exige la prise en compte de la singularité et de l'altérité de l'Autre-homme. Ce n'est qu'à partir de là que l'on peut penser ce qu'est une relation humaine d'accompagnement. Dominique Depenne trouve ici, en l'oeuvre d'Emmanuel Lévinas, une référence irremplaçable pour penser l'éthique. Cet ouvrage est destiné à tous les professionnels du travail social, quels que soient leurs métiers et leurs postes, et qui, d'une façon ou d'une autre, sont confrontés à la dimension relationnelle de l'accompagnement.
Le sens commun tend à rendre synonymes des notions qui ne recouvrent aucune réalité commune. L'éthique, de nos jours, n'échappe pas à ce travers. Cet essai tente d'extraire l'énigme éthique du sens commun en la différenciant de la morale et de la déontologie. Ainsi s'attache-t-il à mesurer les enjeux qui viennent au jour, à partir du questionnement éthique, lorsqu'il s'agit d'accompagner des personnes dites "fragilisées". L'accompagnement est ...

Intégration sociale ; Travailleur des services sociaux ; Société

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vol. 0 - 255 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

C'est ainsi qu'il aborde le rôle de la famille et celui de l'école, examine minutieusement les rapports de l'autonomie avec le care, l'autorité, la justice sociale et les savoirs scolaires. Il avance pas à pas, conduisant le lecteur avec une rigueur qui n'a rien de dogmatique, mais permet justement à chacune et à chacun de s'impliquer dans la démarche proposée, d'éviter les pièges et les faux-semblants afin d'assumer, de manière autonome, son engagement éducatif.
C'est ainsi qu'il aborde le rôle de la famille et celui de l'école, examine minutieusement les rapports de l'autonomie avec le care, l'autorité, la justice sociale et les savoirs scolaires. Il avance pas à pas, conduisant le lecteur avec une rigueur qui n'a rien de dogmatique, mais permet justement à chacune et à chacun de s'impliquer dans la démarche proposée, d'éviter les pièges et les faux-semblants afin d'assumer, de manière autonome, son ...

Organisation du travail ; Gestion des ressources humaines ; Société ; Psychologie du travail

Classificatieplan : MEZ

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- 246 p.
Plaatsingsrubriek : CDM - BP

Le premier récit d'un autiste français qui accepte de nous ouvrir les portes de son monde intérieur. Un témoignage intense, émouvant et brillant.
" Je vis avec l'autisme ", écrit Josef Schovanec, soulignant ainsi ce qu'il considère plus comme une qualité que comme un handicap.
Ce voyageur passionné des civilisations anciennes maîtrise une dizaine de langues, est diplômé de Sciences Po et possède un doctorat en philosophie. Il récuse pourtant les attributs qu'on lui prête – ceux d'un autiste " génial " aux capacités intellectuelles extraordinaires – pour évoquer plutôt, avec beaucoup d'humour et de sensibilité, ces " petits " problèmes qui font le quotidien d'un autiste Asperger : les longues préparations nécessaires avant de prendre le métro ou de se rendre à un rendez-vous, l'angoisse qui l'étreint lorsque le téléphone sonne, la panique face au moindre imprévu, la difficulté à comprendre les codes sociaux et à nouer des relations amicales classiques, sa passion obsessionnelle pour les bibliothèques et les livres...
Il revient aussi sur son parcours psychiatrique aberrant : faute de diagnostic posé, il a évité de peu l'internement !
L'autisme reste un sujet polémique dans le monde scientifique et associatif.
Le premier récit d'un autiste français qui accepte de nous ouvrir les portes de son monde intérieur. Un témoignage intense, émouvant et brillant.
" Je vis avec l'autisme ", écrit Josef Schovanec, soulignant ainsi ce qu'il considère plus comme une qualité que comme un handicap.
Ce voyageur passionné des civilisations anciennes maîtrise une dizaine de langues, est diplômé de Sciences Po et possède un doctorat en philosophie. Il récuse pourtant les ...

Société

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- 263 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

Je hebt je droomjob te pakken, maar toch wringt er iets: je baas is niet meteen inspirerend en motiverend. Of het is andersom: je job boeit je eigenlijk niet, maar je collega's maken het wel de moeite waard om je uren te komen kloppen. Wat doe je als je niet (meer) met de volle goesting gaat werken? Blijf je in je vertrouwde omgeving? Of zoek je beter andere oorden op? De dilemma's zijn groot en de neiging om alles bij het oude te laten is dikwijls sterk. Toch is het een goed idee om aan je werkgeluk te werken. Welzijnsexpert Ann De Bisschop legt uit hoe het nieuwe werken productief én aangenaam kan worden. Tijdens de coronacrisis hebben we vastgeroeste gewoontes overboord gegooid, maar onze nieuwe gewoontes zijn daarom niet altijd beter. We moeten het evenwicht vinden tussen resultaten behalen, verbinden met collega's én tot rust komen buiten de werkuren.Lukt het echt niet meer om te aarden bij het bedrijf waar je werkt? Geeft je job je niet de voldoening die je zoekt? Of zorgt je baas ervoor dat je met tegenzin naar het werk sloft? Dan geeft professor arbeidseconomie Stijn Baert aanwijzingen om het over een andere boeg te gooien en te ontsnappen uit je gouden kooi.Leef niet om te werken. Werk ook niet om te leven. Beschouw werk in de eerste plaats als een belangrijk deel van je leven. Dit boek toont je hoe.
Je hebt je droomjob te pakken, maar toch wringt er iets: je baas is niet meteen inspirerend en motiverend. Of het is andersom: je job boeit je eigenlijk niet, maar je collega's maken het wel de moeite waard om je uren te komen kloppen. Wat doe je als je niet (meer) met de volle goesting gaat werken? Blijf je in je vertrouwde omgeving? Of zoek je beter andere oorden op? De dilemma's zijn groot en de neiging om alles bij het oude te laten is ...

Développement personnel ; Conditions de travail ; Société

Classificatieplan : B3 Professionele ontwikkeling en welzijn op het werk

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