m
Cité des métiers - Beroepenpunt
Cité des métiers - Beroepenpunt

F neem contact met ons op

Astrotoren
Sterrenkundelaan 14
1210 Brussel (Halte Madou)

Maandag - dinsdag - woensdag - vrijdag :
09:30 tot 16:00
Donderdag : 13:30 tot 19:00
(schoolvakanties : 13:30 tot 16:00)







0

Documenten  GRAEBER David | record gevonden : 3

     

-A +A

P Q

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

vol. 0 - 404 p.
Plaatsingsrubriek : CDM - BP

Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la plume de David Graeber, le concept de "bullshit jobs" - ou "jobs à la con", comme on les appelle en français. Dans son style unique, virulent et limpide, l'auteur procède ici à un examen poussé de ce phénomène. Il soutient que, lorsque 1 % de la population contrôle la majeure partie des richesses d'une société, ce sont eux qui définissent les tâches "utiles" et "importantes". Mais que penser d'une société qui, d'une part, méprise et sous-paie ses infirmières, chauffeurs de bus, jardiniers ou musiciens - autant de professions authentiquement créatrices de valeur - et, d'autre part, entretient toute une classe d'avocats d'affaires, d'actuaires, de managers intermédiaires et autres gratte-papier surpayés pour accomplir des tâches inutiles, voire nuisibles ? Graeber s'appuie sur les réflexions de grands penseurs, philosophes et scientifiques pour déterminer l'origine de cette anomalie, tant économique que sociale, et en détailler les conséquences individuelles et politiques : la dépression, l'anxiété et les relations de travail sadomasochistes se répandent ; l'effondrement de l'estime de soi s'apparente à "une cicatrice qui balafre notre âme collective". Sa démonstration est émaillée de témoignages éclairants envoyés par des salariés de tous pays, récits tour à tour déchirants, consternants ou hilarants. Il y a le consultant en informatique qui ne possède aucune des qualifications requises pour le poste, mais qui reçoit promotion sur promotion, bien qu'il fasse des pieds et des mains pour se faire virer ; le salarié supervisé par vingt-cinq managers intermédiaires dont pas un seul ne répond à ses requêtes ; le sous-sous-sous-contractant de l'armée allemande qui parcourt chaque semaine 500 kilomètres en voiture pour aller signer un papier qui autorisera un soldat à déplacer son ordinateur dans la pièce d'à côté... Graeber en appelle finalement à une révolte du salarié moderne ainsi qu'à une vaste réorganisation des valeurs, qui placerait le travail créatif et aidant au coeur de notre culture et ferait de la technologie un outil de libération plutôt que d'asservissement, assouvissant enfin notre soif de sens et d'épanouissement.
Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la ...

Travail ; Emploi ; Société ; Conditions de travail

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

... om te lezen [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 447 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la plume de David Graeber, le concept de "bullshit jobs" - ou "jobs à la con", comme on les appelle en français. Dans son style unique, virulent et limpide, l'auteur procède ici à un examen poussé de ce phénomène. Il soutient que, lorsque 1 % de la population contrôle la majeure partie des richesses d'une société, ce sont eux qui définissent les tâches "utiles" et "importantes". Mais que penser d'une société qui, d'une part, méprise et sous-paie ses infirmières, chauffeurs de bus, jardiniers ou musiciens - autant de professions authentiquement créatrices de valeur - et, d'autre part, entretient toute une classe d'avocats d'affaires, d'actuaires, de managers intermédiaires et autres gratte-papier surpayés pour accomplir des tâches inutiles, voire nuisibles ? Graeber s'appuie sur les réflexions de grands penseurs, philosophes et scientifiques pour déterminer l'origine de cette anomalie, tant économique que sociale, et en détailler les conséquences individuelles et politiques : la dépression, l'anxiété et les relations de travail sadomasochistes se répandent ; l'effondrement de l'estime de soi s'apparente à "une cicatrice qui balafre notre âme collective". Sa démonstration est émaillée de témoignages éclairants envoyés par des salariés de tous pays, récits tour à tour déchirants, consternants ou hilarants. Il y a le consultant en informatique qui ne possède aucune des qualifications requises pour le poste, mais qui reçoit promotion sur promotion, bien qu'il fasse des pieds et des mains pour se faire virer ; le salarié supervisé par vingt-cinq managers intermédiaires dont pas un seul ne répond à ses requêtes ; le sous-sous-sous-contractant de l'armée allemande qui parcourt chaque semaine 500 kilomètres en voiture pour aller signer un papier qui autorisera un soldat à déplacer son ordinateur dans la pièce d'à côté... Graeber en appelle finalement à une révolte du salarié moderne ainsi qu'à une vaste réorganisation des valeurs, qui placerait le travail créatif et aidant au coeur de notre culture et ferait de la technologie un outil de libération plutôt que d'asservissement, assouvissant enfin notre soif de sens et d'épanouissement.
Alors que le progrès technologique a toujours été vu comme l'horizon d'une libération du travail, notre société moderne repose en grande partie sur l'aliénation de la majorité des employés de bureau. Beaucoup sont amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles, sans réel intérêt et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. C'est de ce paradoxe qu'est né et s'est répandu, sous la ...

Travail ; Emploi ; Société ; Conditions de travail

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

... om te lezen [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 335 p.
Plaatsingsrubriek : CDM BP

In ‘Bullshit jobs’ stelt antropoloog en invloedrijk denker David Graeber dat een groot deel van ons werk zinloos moet zijn. Want dankzij de technologie kunnen we voor onze productiebehoefte met een vijftienurige werkweek toe, en toch maken we allemaal nog steeds volle dagen. Hij kreeg op een blog hierover duizenden reacties: over de hele wereld blijken veel mensen het fenomeen te kennen. Nota bene: een bullshit job is een baan waarvan de persoon zelf vindt dat het (deels) een onzinbaan is. Graeber beschrijft in dit boek het hoe en waarom van deze banen, die voortkomen uit het westerse kapitalisme maar er eigenlijk haaks op staan (ze lijken meer op de werkverschaffing in het voormalige Oostblok). Onzinbanen komen ook voort uit onze calvinistische overtuiging dat werkloos zijn slecht is. Graebers scherpe betoog is doorspekt met hilarische en tegelijk tragische voorbeelden en doet je met een andere blik kijken naar de rol van werk in onze samenleving.
In ‘Bullshit jobs’ stelt antropoloog en invloedrijk denker David Graeber dat een groot deel van ons werk zinloos moet zijn. Want dankzij de technologie kunnen we voor onze productiebehoefte met een vijftienurige werkweek toe, en toch maken we allemaal nog steeds volle dagen. Hij kreeg op een blog hierover duizenden reacties: over de hele wereld blijken veel mensen het fenomeen te kennen. Nota bene: een bullshit job is een baan waarvan de persoon ...

Emploi ; Travail ; Employeur ; Travailleur ; Entreprise ; Conditions de travail ; Aménagement du temps de travail

Classificatieplan : B1 Werkorganisatie

... om te lezen [+]

Z