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Cité des métiers - Beroepenpunt
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Documents  LA DECOUVERTE | records matching : 4

     

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- 246 p.
Call n° : CDM BP

Pas un jour sans que vous entendiez quelqu’un soupirer : « Je fais un boulot de merde. » Pas un jour peut-être sans que vous le pensiez vous-même. Ces boulots-là sont partout, dans nos emplois abrutissants ou dépourvus de sens, dans notre servitude et notre isolement, dans nos fiches de paie squelettiques et nos fins de mois embourbées. Ils se propagent à l’ensemble du monde du travail, nourris par la dégradation des métiers socialement utiles comme par la survalorisation des professions parasitaires ou néfastes.
Comment définir le boulot de merde à l’heure de la prolifération des contrats précaires, des tâches serviles au service des plus riches et des techniques managériales d’essorage de la main-d’oeuvre ? Pourquoi l’expression paraît-elle appropriée pour désigner la corvée de l’agent de nettoyage ou du livreur de nans au fromage, mais pas celle du conseiller fiscal ou du haut fonctionnaire attelé au démantèlement du code du travail ?
Pour tenter de répondre à ces questions, deux journalistes eux-mêmes précaires ont mené l’enquête pendant plusieurs années. Du cireur de chaussures au gestionnaire de patrimoine, du distributeur de prospectus au «personal shopper» qui accompagne des clientes dans leurs emplettes de luxe, de l’infirmière asphyxiée par le «lean management» au journaliste boursier qui récite les cours du CAC 40, les rencontres et les situations qu’ils rapportent de leur exploration dessinent un territoire ravagé, en proie à une violence sociale féroce, qui paraît s’enfoncer chaque jour un peu plus dans sa propre absurdité. Jusqu’à quand ?
Pas un jour sans que vous entendiez quelqu’un soupirer : « Je fais un boulot de merde. » Pas un jour peut-être sans que vous le pensiez vous-même. Ces boulots-là sont partout, dans nos emplois abrutissants ou dépourvus de sens, dans notre servitude et notre isolement, dans nos fiches de paie squelettiques et nos fins de mois embourbées. Ils se propagent à l’ensemble du monde du travail, nourris par la dégradation des métiers socialement utiles ...

Plan de classement : A0 Métiers (généralités)

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- 384 p.
Call n° : CDM BP

La formation initiale doit-elle être ajustée aux évolutions prévisibles des emplois ? Faut-il davantage " professionnaliser " les formations ? Faut-il les spécialiser ou assurer une formation plus générale permettant de s'adapter à ces évolutions ? Tous les décideurs du champ emploi-formation se trouvent confrontés à ces interrogations, qui s'inscrivent également dans le débat scientifique. Pour les éclairer, cet ouvrage propose une analyse des liens réels entre formations et emplois et tente de comprendre pourquoi ils sont ainsi. Il s'appuie essentiellement sur les résultats de l'enquête Génération 98 du Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications), qui permettent de repérer les caractéristiques des emplois occupés au cours des premières années de vie active. La diversité des éclairages et des matériaux réunis par les auteurs de cet ouvrage - membres du Céreq et d'autres équipes de recherche - permet de mieux comprendre les relations entre formations et emplois et, ce faisant, peut contribuer à modifier les représentations, à donner de nouveaux repères à tous les acteurs concernés par cette question d'une
constante actualité. La première partie montre comment les acteurs - système éducatif, responsables d'entreprises, décideurs nationaux et régionaux - se positionnent par rapport à cette question. La deuxième montre qu'une " bonne correspondance " entre formation initiale et emplois occupés, tant en termes de niveaux que de spécialités, n'est pas aujourd'hui la règle en France, même pour les formations professionnelles. La troisième analyse comment la volonté d'ajuster les formations aux emplois se heurte aux stratégies des différents acteurs. Enfin, la dernière partie met l'accent sur les phénomènes de " déclassement ".
La formation initiale doit-elle être ajustée aux évolutions prévisibles des emplois ? Faut-il davantage " professionnaliser " les formations ? Faut-il les spécialiser ou assurer une formation plus générale permettant de s'adapter à ces évolutions ? Tous les décideurs du champ emploi-formation se trouvent confrontés à ces interrogations, qui s'inscrivent également dans le débat scientifique. Pour les éclairer, cet ouvrage propose une analyse des ...

Formation professionnelle continue ; Marché du travail

Plan de classement : MEZ

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- 384 p.
Call n° : Instance Bassin EFE

La formation initiale doit-elle être ajustée aux évolutions prévisibles des emplois ? Faut-il davantage " professionnaliser " les formations ? Faut-il les spécialiser ou assurer une formation plus générale permettant de s'adapter à ces évolutions ? Tous les décideurs du champ emploi-formation se trouvent confrontés à ces interrogations, qui s'inscrivent également dans le débat scientifique. Pour les éclairer, cet ouvrage propose une analyse des liens réels entre formations et emplois et tente de comprendre pourquoi ils sont ainsi. Il s'appuie essentiellement sur les résultats de l'enquête Génération 98 du Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications), qui permettent de repérer les caractéristiques des emplois occupés au cours des premières années de vie active. La diversité des éclairages et des matériaux réunis par les auteurs de cet ouvrage - membres du Céreq et d'autres équipes de recherche - permet de mieux comprendre les relations entre formations et emplois et, ce faisant, peut contribuer à modifier les représentations, à donner de nouveaux repères à tous les acteurs concernés par cette question d'une
constante actualité. La première partie montre comment les acteurs - système éducatif, responsables d'entreprises, décideurs nationaux et régionaux - se positionnent par rapport à cette question. La deuxième montre qu'une " bonne correspondance " entre formation initiale et emplois occupés, tant en termes de niveaux que de spécialités, n'est pas aujourd'hui la règle en France, même pour les formations professionnelles. La troisième analyse comment la volonté d'ajuster les formations aux emplois se heurte aux stratégies des différents acteurs. Enfin, la dernière partie met l'accent sur les phénomènes de " déclassement ".
La formation initiale doit-elle être ajustée aux évolutions prévisibles des emplois ? Faut-il davantage " professionnaliser " les formations ? Faut-il les spécialiser ou assurer une formation plus générale permettant de s'adapter à ces évolutions ? Tous les décideurs du champ emploi-formation se trouvent confrontés à ces interrogations, qui s'inscrivent également dans le débat scientifique. Pour les éclairer, cet ouvrage propose une analyse des ...

Formation professionnelle continue ; Marché du travail ; Emploi

Plan de classement : MEZ

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109y

- 149 p.
Call n° : CDM - BP

Contre le chômage, on a tout essayé ", disait François Mitterrand en 1993. L'économiste américaine Pavlina Tcherneva vient rappeler que rien n'est plus faux, à condition d'accepter de modifier notre façon de voir l'économie. Face à une vision où le chômage est un " mal nécessaire ", un ajustement utile, elle défend l'idée que la priorité doit être de donner un emploi à tous ceux qui désirent travailler. Une telle idée n'est pas utopique, elle correspond simplement à une volonté politique. En assurant un " emploi pour tous ", la garantie d'emploi assure aussi un " nouveau contrat social " où l'action publique est libérée du chantage des entreprises, tout en étant capable de répondre aux défis actuels de la société. Certes, il y aura toujours des crises, mais ceux qui en paieront le coût ne seront pas les travailleurs et les chômeurs. L'ajustement de l'économie se fera ailleurs et la cohésion sociale n'en sera que renforcée.
Avec cette garantie, les besoins de la société seront satisfaits et la démocratie locale renforcée. C'est pourquoi la garantie d'emploi est une part indissociable du Green New Deal : une société débarrassée du risque du chômage et du chantage à l'emploi se donne pleinement les moyens d'une action déterminée sur le front de l'écologie, tant en termes de moyens disponibles que d'action. Et elle le fait en améliorant la vie quotidienne de millions de citoyens.
Contre le chômage, on a tout essayé ", disait François Mitterrand en 1993. L'économiste américaine Pavlina Tcherneva vient rappeler que rien n'est plus faux, à condition d'accepter de modifier notre façon de voir l'économie. Face à une vision où le chômage est un " mal nécessaire ", un ajustement utile, elle défend l'idée que la priorité doit être de donner un emploi à tous ceux qui désirent travailler. Une telle idée n'est pas utopique, elle ...

Société ; Chômage ; Economie sociale ; Emploi

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